Nous avons le plaisir de vous proposer notre test du jeu Europa, un jeu indé développé par Novadust Studio, Helder Pinto, Alex Petherick-Brian, et Brian Horn, depuis plus de cinq ans. Édité par Future Friends Games, il est sorti le 11 octobre 2024 sur PC et Nintendo Switch.
A l’heure où j’écris ce test, j’ai terminé l’aventure principale.
Histoire :
L’histoire se déroule sur Europa, une lune terraformée (aménager une planète pour la rendre propice à la vie et habitable par l’homme) de Jupiter. Vous incarnez Zee, un jeune androïde qui parcourt les vastes pleines d’une civilisation en ruines, en quête de réponse, cherchant ce qu’il est advenu du dernier humain de cette planète.
Graphismes :
Les graphismes sont un des points forts de ce jeu. Dans le style Ghibli, l’aventure nous transporte, passant dans différents biomes. La qualité du travail est telle, que nous avons l’impression d’évoluer au sein d’un film du maître Hayao Miyazaki.
Gameplay :
Le gameplay est très simple. Pour parcourir les vastes espaces, vous avez la possibilité de voler. Au moyen d’un jetpack, décollez et laissez vous planner. Cet accessoire nécessite de récolter de l’énergie, que vous trouverez assez souvent autour de vous. Il y aura également la possibilité de trouver des artefacts qui vous serviront à améliorer l’autonomie du jetpack. D’autres éléments sont à chercher lors de vos déambulations, comme les pages d’un cahier, transmis par Adam, le père de l’androïde, ainsi que des cristaux verts en guise de mémoire du passé.
Son / Musique :
L’autre point fort est la bande sonore. La musicalisation du jeu est de toute beauté, tout en symphonie. Couplée aux prises de parole du patriarche, la musique nous donne une totale sensation de liberté, l’impression de s’envoler.
Mon verdict :
Le jeu est une magnifique expérience. Avec une durée de vie d’un peu plus de 4h, l’envie d’explorer les divers paysages est permanente. La musique, est de toute beauté. En filigrane de cette aventure, les questions se posent de savoir quelle planète et quel avenir souhaitons nous laisser aux futures générations, et sommes nous prêts à retenir nos erreurs passées pour ne pas les refaire.
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